Enduisez-vous généreusement les mains de lubrifiant.
D'une main, prenez le pénis en érection.
Placez l'autre main au-dessus du gland, comme un parapluie.
Attention à ne pas le griffer avec vos ongles !
Les extrémités de vos doigts sont légèrement tournées vers l'extérieur, un peu comme le bout évasé d'une trompette.
La main, doigts écartés, « en pieuvre», coiffe le gland.
Descendez-la en tournant de droite à gauche, comme si vous pressiez un citron.
Cela jusqu'à sentir son gland au creux de votre paume.
Tournez doucement sur le gland pendant quelques secondes, puis remontez, toujours en tournant.
L'ensemble de la verge peut être branlé : l'anneau des doigts ou la gaine de la main serre le pénis ; et sans desserrer sa pression, et donc sans lâcher le contact avec la peau, coulisse du gland à la base et vice-versa.
C'est la peau, non adhérente en profondeur, qui, en fait, coulisse sur les corps érectiles tendus à l'extrême ; c'est une simulation du coït.
Ce mouvement est instinctif chez l'homme et, sous une apparente simplicité, comprend des nuances que lui seul peut saisir ; la femme ne le réalise pas d'instinct, sauf à ce qu'on dit, les Orientales, et ne fera jamais aussi bien que l'homme lui-même, l'homme est encore moins doué pour la stimulation clitoridienne que ne l'est la femme pour la pénienne.
|