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Je m'appelle Laure. J'ai 26 ans et je suis collectionneuse. Je collectionne tout, les tickets de cinéma, les ours en peluche, les garçons raides dingues de moi ! J'ai déjà une sacrée brochette car je suis une très jolie fille. Je mesure 1 m72, je suis blonde, aux cheveux longs, j'ai des yeux bleus turquoise, l'héritage d'une grand mère suédoise. J'ai aussi des ancêtres brésiliens et un cul d'enfer. Quant à mes seins, hum, là, je vous laisse fantasmer.
Fantasmer, quel joli mot non ? Celui des nuits de folie, des rêves interdits
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Des fantasmes, j'en ai plein ! Je les chouchoute, je les chéris. Ils me tiennent compagnie dans de mes nuits solitaires ou lorsque je suis dans les bras d'un garçon sans imagination.
Alors ici, j'ai décidé de réunir mes deux passions et d'inaugurer une collection de fantasmes, les miens, ceux de mes amies, d'inconnus,
les vôtres ?
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Réaliser mes fantasmes ? Je ne suis pas pressée ! Mes fantasmes sont des bonbons que je suce et resuce longuement, sensuellement. Ils sont doux au début, tendres à la bouche, puis ils deviennent de plus en plus acidulés, forts, et ils explosent comme un feu d'artifice au creux de mon ventre. Alors je ne ferai rien pour leur donner vie. Je sais qu'ils m'attendent là, au cur d'une de mes aventures et que le moment venu, j'en jouirai avec plus de plaisir encore parce que l'attente aura été longue, si longue
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Qu'est ce que les fantasmes ?
Par Laure
Le fantasme est une production de l'imaginaire. Ce mot s'applique le plus couramment aux pratiques sexuelles. Nous avons tous des fantasmes, soit dans la journée, soit lors de nos rapports sexuels; fantasmer est une activité normale. Il s'agit au départ de scénarios plus ou moins construits nous mettant en scène dans une situation inconnue de nous, mais qui nous trouble, nous tente. Nous avons tous et toutes un ou des fantasmes, il n'est pas toujours facile de regarder en face ces expressions secrètes de nous-mêmes. Pourquoi ? Parce que nos fantasmes révèlent des désirs qui nous choquent, qui dérangent nos système de valeurs, qui remettent en question ce que nous croyons être. Ainsi fantasmer sert à mieux nous connaître. On peut choisir ensuite de réaliser ses fantasmes ou bien de laisser dans le monde de nos rêves secrets. Les avis sont partagés : la réalité est-elle toujours plus fade, ou plus choquante qu'une situation idéalisée de fantasme ? ce qui est su , c'est que faire des choses plus ou moins interdites augmente fortement l'excitation, la peur associée à cette transgression ayant un effet positif. Et aussi que nous avons besoin de fantasme pour vivre. Lorsque l'un d'entre eux est réalisé, il faut vite en trouver un autre !
Des tas de sites intitulés fantasmes présentent des situations de fantasme : lesbianisme, triolisme, etc. mais pour moi le fantasme c'est du monde de l'imaginaire, du rêve, c'est tout ce qui est autour. Ce qui différencie une pipe d'une autre, c'est que celle-ci, se fait dans une rue sombre à un inconnu croisé quelques minutes auparavant, ou encore c'est que cette fille que vous léchez goulûment, c'est votre chef de bureau ! Bref c'est une histoire raffinée de décor, d'ambiance
Début de ma collection de fantasme : Melissa
Le premier de mes fantasmes date de mes années de collège, dans les vestiaires du gymnase. Il a grandi avec moi, m 'accompagnant au lycée, au club de gym
Vous voulez le connaître ?
J'ai oublié mon sac au vestiaire avec mes clefs dedans. Je dois donc y retourner. Heureusement c'est encore ouvert car il est très tard. Le gymnase est désert. Je pousse la porte des vestiaires. Une fille seule est là. C'est la plus jolie du club. Elle est brune, aux cheveux longs, frisés. Sa peau est mate et lisse, ses yeux noirs. C'est aussi la plus douée d'entre nous. Elle a un corps extraordinaire, fin, musclé avec des seins arrogants et des fesses rondes. Un délice ! Elle est au fond de la salle, debout, presque nue. Elle ne porte qu'une petite culotte de coton blanc qui fait une tache de lumière indécente sur sa peau bronzée. Je la vois de profil, ses seins pointent, les tétons sont noirs, tendus. Une goutte de sueur descend le long de son dos musclé vers ses reins cambrés. Je passe ma langue sur mes lèvres, je suis la goutte entre ses fesses rebondies. Elle se penche un peu et retire sa culotte. Elle a une épaisse toison brune serrée. Elle se ccambre encore et détache sa chevelure. Elle secoue un peu la tête pour la faire ruisseler sur son dos, ses cheveux caressent ses reins. Elle sort une serviette de son sac de sport. Elle va aller prendre une douche. Je m'approche. Elle se retourne, elle n'a pas l'air surpris de me voir. Je lui prends doucement la serviette des mains. J'essuie la sueur entre ses seins. Elle me sourit silencieusement. J'attrape la pointe de son sein gauche dans ma bouche gourmande. Je la tête goulûment. Elle gémit et s'appuie sur le casier métallique. Son corps se tend vers moi. Je lâche la serviette et ma bouche descend lentement le long de son ventre plat et musclé. J'enfonce ma langue dans son nombril. Je sens l'odeur enivrante de son sexe. Je recule mon visage et je glisse ma main entre ses cuisses. J'écarte tendrement ses lèvres pour la découvrir chaude, rose, humide, le clitoris tendu vers ma bouche qui la happe avec délice Elle pose ses mains sur mes cheveux, m'offre sa chatte. Je la suce, je la bois, elle ondule, elle gémit. J'enfonce mes doigts dans son ventre, je la colle contre ma bouche, je l'aspire passionnément. Elle est bonne, dégoulinante, odorante. Mon sexe est aussi trempé que le sien. Son ventre danse follement. Elle empoigne mes cheveux et pousse un long cri de jouissance, elle se répand en moi et je l'avale jusqu'à la dernière goutte. Elle reste un moment immobile. Je lèche tendrement sa chatte apaisée. Elle me relève et, me regardant dans les yeux, elle pose un doigt sur mes lèvres mouillées de son plaisir. Elle dit : » Je m'appelle Melissa. A toi maintenant
» Voilà maintenant le vrai début de ma collection (Il faut au moins deux objets pour faire une collection, non ?). Alors, j'ai chiné pour vous le fantasme de ma meilleure amie. Lucie a 20 ans, elle est petite aux cheveux bruns, frisés, les yeux noirs et le nez retroussé, l'air coquin. Voilà ce qu'elle m'a raconté :
« Je n'ai pas vraiment un physique de mannequin d'Europe de l'Est, non ? Oui, je sais, je suis très jolie, en plus je suis marrante, je n'ai aucun problème avec les garçons, c'est sur, je suis tellement
comment dites-vous tous ? Naturelle. Mais parfois j'ai envie d'un peu plus de sophistication, du ténébreux, du cérébral ! Alors voilà mon fantasme : Un homme me croise dans la rue, plutôt charmant. Il m'arrête : « Mademoiselle, si vous voulez passer une nuit inoubliable, rendez-vous à l'adresse indiquée sur cette carte. » Je m'apprête à lui dire que je n'entre pas dans ce genre de plan de drague foireux mais il est déjà parti. Je découvre sur le carton l'adresse d'un grand couturier et un prénom, Luigi. Je n'hésite plus, j'appelle un taxi et je file chez le couturier. Deux femmes élégantes m'accueillent. L'une m'entraîne vers un salon pour prendre mes mensurations, l'autre me sert un thé et la première revint alors avec de magnifiques dessous de soie noire, une guêpière, des bas scintillants, j'ose à peine les enfiler. La seconde me tend alors une somptueuse robe du soir rouge feu et des escarpins vertigineux qui me donnent une silhouette fine, cambrée, royale. C'est Cendrillon qui se prépare pour le bal. On me dirige ensuite vers le coiffeur : un chignon, du rimmel. La transformation est accomplie. Devant la maison de couturier, la voiture de Luigi m'attend, c'est une allemande aux vitres teintées. Je monte sans inquiétude. Que peut-il m'arriver ? Je vais certainement retrouver le prince charmant !
La voiture pénètre au bout d'un long moment dans un parc sombre et se dirige vers une immense propriété illuminée. Je descend de la voiture et me dirige le cur battant jusqu'à la double porte qui s'ouvre comme par magie à mon arrivée. Il m'attend avec impatience ! Une servante silencieuse me conduit jusqu'au grand salon, éclairé de candélabres. Six hommes sont là. Ils se lèvent à mon entrée. Ils sont élégants, jeunes sans doute, je ne peux pas en être sure car ils portent tous un masque de velours noir.
Un dîner raffiné est servi : huîtres, champagne, sorbets. Les six hommes s'occupent silencieusement de moi. Au fil du repas, leurs attentions se font plus précises : mon voisin de droite me caresse la jambe, un baiser se glisse derrière mon oreille, l'un me tend une coupe de champagne et vient boire à mes lèvres, une main retrousse ma robe et se glisse loin entre mes cuisses, le plus hardi dénude mes seins qu'il présente comme deux fruits mûrs à ses amis ravis qui viennent y croquer. Ce ballet d'homme à mes pieds me donne le tournis, je me sens si belle, adulée, prête à tout
.A la fin du repas, ils m'emmènent au salon. Six fauteuils sont en demi-cercle autour de la cheminée. Ils me placent debout au centre. Musique douce, les flammes donnent de reflets mordorés à ma peau et des lueurs diaboliques à leurs yeux brûlants de désir. Un premier homme fait glisser ma robe. Je sais que je suis belle, là, à demi nue pour eux, je cambre les reins, je gonfle les seins, des mains me caressent de plus en plus profondément. Chacun leur tour ils viennent me toucher, me goûter, se frotter à moi. Quand je suis bien excitée, le plus âgé me dirige vers le premier fauteuil où un homme est assis, toujours vêtu de son smoking et de son masque, son sexe tendu à la main. Mon guide m'agenouille et je prends l'inconnu dans ma bouche sous le regard de ses cinq compagnons. Cela doit être la plus belle fellation de ma vie, il ne faut pas les décevoir. Je lèche longuement cette belle queue, je la tète, je l'avale et je sens le corps de l'homme se cambrer de plus en plus sous ma langue experte. A ce moment le plus vieux, resté derrière moi, mais est-ce lui ? Je ne peux le jurer, toute occupée que je suis avec cette bite qui n'en peut plus entre les lèvres. A ce moment donc, un autre m'écarte résolument les cuisses et s'enfonce vigoureusement dans ma chatte brûlante. Je suis maintenant la tête enfouie entre les cuisses de cet homme en smoking, assis sur un fauteuil, tandis qu'un autre, aussi élégant, m'enfonce la queue du premier dans la gorge à chacun de ses coups de reins, et autour de nous quatre autres hommes qui commentent en gentlemen, comme s'ils assistaient à une épreuve sportive, un match de polo, l'élégance de ma cambrure, la dextérité de celui qui me monte ! Ils pronostiquent aussi sur l'endurance de mes deux cavaliers. Mais au bout d'un moment, c'est l'homme assis qui me prend la tête et d'un sourire reconnaissant, me désigne l'un de ses compagnons. L'homme qui me baise s'arrête lui aussi et m'assoit sur le sexe tendu du troisième, ce qui me permet d'avaler la queue du quatrième. Ce deuxième duo de cavalier me mène tout droit au nirvana. Je danse la sarabande sur la queue de l'un, tâchant d'avaler l'autre, je voudrais pouvoir les prendre tous en même temps. Le plus âgé des hommes semble avoir compris : d'un mot à l'oreille, il arrête notre trio frénétique et me dirige vers les deux derniers de ses compagnons. L'un deux est certainement le plus bel étalon que j'ai jamais vu, il se pourrait d'ailleurs que ce soit Luigi. Il m'allonge sur le billard, me relève les cuisses et me défonce d'un vigoureux coup de reins. Le dernier homme s'approche et se contente de nous regarder, sa queue à quelques centimètres de mes yeux et de ma bouche, il se masturbe tranquillement tandis que Luigi me pilonne et me tire bientôt des hurlements de jouissance, l'homme alors inonde mes seins de son sperme chaud. Luigi se penche vers mon oreille : « inoubliable, non ? »
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