 Encore aujourd'hui, au 3e millénaire, beaucoup de femmes acceptent sans broncher de se raser pour porter un maillot de bain "brésilien". Cela est véritablement une atteinte à leur féminité morphologique adulte et en plus elles payent pour se faire faire « le maillot » dans des instituts de beauté chics et on trouve que c'est « normal » alors que les plages naturistes font scandale dans l'opinion publique.
Le rasage génital féminin est soit total, soit partiel…Il concerne le pubis et la vulve et est pratiqué au ciseau, au rasoir, à la cire ou à la pince à épiler… Au départ, les premiers pas vers l'épilation intime totale commence avec ''l'épilation maillot". Ensuite, c'est la pilosité pubienne, sacrifiée sur les côtés, qui est visée pour nos chers maillots de bains brésiliens, très échancrés latéralement. Puis, certaines passent le cap de l'épilation totale de la vulve et du pubis.
Pourtant, de nature, la pilosité bien développée est signe de la maturité sexuelle d'une femme avec laquelle l'accouplement est possible : elle déclenche donc le désir.
Certains hommes peuvent être rebutés par l'aspect chauve de la zone génitale féminine, qui s'associe dans leur tête à la maladie, et surtout à la sénilité.
D'autres hommes par contre vont adorer le sexe féminin imberbe qui peut engendrer l'image infantile de la femme.
Le rasage génital masculin va comporter l'épilation totale ou partielle du pénis, des testicules, de l'anus, de la raie, du bas-ventre, du bas du dos et des fesses…La précaution ici qu'il faut prendre est pour les homosexuels hommes car si le rasage remonte à plusieurs jours, il n'y a pas de risque de transmission du V.I.H lors d'un rapport sexuel. Par contre, si ce rasage fait partie du jeu érotique, il faut faire attention aux micro lésions de la peau qu'il peut créer : il faut alors éviter tout contact avec du sperme ou du sang, que ce soit directement ou par l'intermédiaire des mains.
L'usage des crèmes dépilatoires sur les régions génitales peut provoquer une irritation ou des phénomènes inflammatoires ou allergiques : elles ne sont donc guère recommandées. Par contre, pour le torse, les fesses, le bas-ventre elles ne présentent aucun danger : la peau y est moins sensible.
«Faut-il ou non procéder au rasage intime ?» est une question qui se pose aux hommes et aux femmes souvent au départ par simple curiosité. Même ceux qui prétendent adorer partir en exploration dans la jungle touffue ont envie de voir à
quoi ressemble le sexe de leur compagne ou compagnon quand il est «déshabillé» et peuvent lui demander de se raser. Tout le monde peut obéir à cet envie de se voir.
Le résultat n'est pas toujours positif, d'ailleurs : parfois, on est choqué par ce que l'on voit. On se sent comme désexualisé, comme si on était redevenu des enfants impubères et on peut être étonné de la petitesse de nos organes génitaux. Et puis d'autres adorent se découvrir si doux et si délicats à cet endroit et cela les rend encore plus excités.
Mais se raser intimement régulièrement présente parfois quelques difficultés techniques : le contact de la petite culotte ou du boxer sur la peau qui peut être agréable au début, mais pas quotidiennement et peut virer à la démangeaison…Rien de plus pénible qu'une barbe qui repousse, particulièrement à cet endroit. |
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